Face à cette situation, la communauté internationale redouble d’efforts pour percer le mystère de l’uranium caché. Les inspections sont intensifiées, les technologies de surveillance améliorées, les pressions diplomatiques amplifiées. Les satellites scrutent le territoire iranien, les capteurs détectent les moindres anomalies, les agents de renseignement traquent les indices. Pourtant, la coopération iranienne reste limitée, les zones d’ombre persistent, les réponses se font attendre. Cette impasse met en lumière les limites des mécanismes actuels de contrôle, la nécessité d’une approche plus robuste, plus coordonnée, plus déterminée. La recherche de la vérité devient un enjeu crucial, non seulement pour la non-prolifération nucléaire, mais aussi pour la paix et la sécurité mondiales. L’ONU, l’AIEA, les grandes puissances, tous sont confrontés à un dilemme : comment imposer la transparence sans provoquer la confrontation ? Comment garantir la sécurité sans déclencher la guerre ? Comment restaurer la confiance sans céder à la pression ?, L’incertitude autour du stock d’uranium enrichi en Iran est bien plus qu’un simple mystère scientifique : c’est une menace qui pèse sur l’équilibre fragile du Moyen-Orient et sur la sécurité internationale. Alors que les inspecteurs de l’ONU peinent à lever le voile sur cette énigme, la communauté mondiale doit redoubler d’efforts pour imposer la transparence et éviter , L’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA) réclame l’accès aux sites nucléaires iraniens après l’attaque américaine. Le but ? savoir où est passé l’uranium enrichi .